
On avait pu penser que les manifestations qui furent à l’origine du Printemps Arabe étaient moins violente en Tunisie qu’en Egypte, par exemple. On avait surtout pensé qu’une fois la démocratie rétablie, ces manifestations n’auraient plus lieu d’être, et que la prospérité économique reviendrait, serait plus largement et plus justement répartie dans la population. Lire la suite de cet article